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DĂ©couvrezles 20 films similaires au film Le Petit monde de Don Camillo realisĂ© par Julien Duvivier avec Fernandel, Vera Talchi, comme Don Camillo en Russie, La Grande bagarre de Don Camillo Affichesoriginales de cinĂ©ma et photos d'exploitation vintage. DurĂ©eFilm. 103 min. Nb Dvd. 2. Synopsis. D'Ăąpres rivalitĂ©s de clocher font bouillonner le petit village italien de Bassa. Le maire du pays, Peppone, un rouge, vient de triompher aux Ă©lections et son succĂšs est dur Ă  Cetarticle : Le Petit Monde de Don Camillo. par Fernandel DVD . 18,38 € Il ne reste plus que 1 exemplaire(s) en stock. ExpĂ©diĂ© et vendu par LUNABRUNO. Livraison GRATUITE. Le Retour de Don Camillo. par Fernandel DVD . 9,47 € Il ne reste plus que 9 exemplaire(s) en stock. ExpĂ©diĂ© et vendu par Amazon. ExpĂ©dition de 2,99 € Les clients ayant consultĂ© cet article ont Ă©galement Lepetit monde de Don Camillo : Un village italien de l'immĂ©diat aprĂšs-guerre. Le garagiste Peppone, communiste vigoureux dont la moustache tout entiĂšre est un hommage Ă  Staline, vient Site De Rencontre Serieux Pour Senior Gratuit. 9 rĂ©sultats Passer aux rĂ©sultats principaux de la recherche Club français du livre 1951, in8 pleine toile & jaquette Ă©diteur, 272 pp. [Edition originale de traduction, parue dans la sĂ©rie "EvĂ©nement"]. Envoi rapide TrĂšs bon Ă©tat intĂ©rieur frais avec sa jaquette rhodoĂŻd tranche un peu ternie + lĂ©gĂšres rousseurs. in8. 1969. CartonnĂ©. iconographie en noir et blanc et en couleurs. TrĂšs bon Ă©tat. Envoi rapide Comme neuf. in8. 1978. CartonnĂ©. 272 pages. Comme neuf. Bon Etat intĂ©rieur propre couverture salie. in8. 1952. BrochĂ©. 254 pages. Bon Ă©tat. Ancien ou d'occasion - Couverture rigide Etat Bon QuantitĂ© disponible 1 Ajouter au panier Etat Bon. Qques dessins en noir et blanc. Ex. 4576 faisant parti de l'Ă©dition originale. 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Saga Don Camillo Le Petit Monde de Don Camillo 1952 LE PETIT MONDE DE DON CAMILLO RĂ©sumĂ© Au nord de l’Italie de l’immĂ©diat aprĂšs-guerre, les Communistes viennent de remporter les Ă©lections municipales dans le petit village de Brescello. DĂšs lors, la vie de la communautĂ© est scandĂ©e par l’opposition perpĂ©tuelle entre le maire, Peppone, et le curĂ©, Don Camillo, qui dialogue rĂ©guliĂšrement avec un JĂ©sus tentant de modĂ©rer sa fougue politique. Chaque pĂ©ripĂ©tie locale devient l’occasion d’une escarmouche entre les deux hommes. Toutefois une forte amitiĂ© remontant aux maquis antifascistes les unit et ils parviennent Ă  Ɠuvrer ensemble pour le bien commun, quand le besoin s’en fait sentir. AprĂšs une Ă©niĂšme Ă©chauffourĂ©e, l’EvĂȘque dĂ©cide toutefois d’envoyer Don Camillo prendre du repos, en lui confiant une paroisse montagnarde. Critique PrĂšs de soixante-cinq ans plus tard, le premier intĂ©rĂȘt du Petit Monde de Don Camillo est Ă  l’évidence historique. Paru alors que Staline Ă©tait encore aux commandes de l’URSS, il Ă©voquera auprĂšs du spectateur contemporain un monde enseveli par les sables de l’Histoire. Celui de la confrontation mondiale entre deux blocs et deux superpuissances totalement antagonistes, durant une guerre froide mais aussi chaude. A l’affiche en 1952, le film apparaĂźt ainsi contemporain de la Guerre de CorĂ©e 1950-1953. Le propos se centre Ă©videmment sur l’Italie, Giovannino Guareschi ayant eu la mĂȘme gĂ©niale idĂ©e que celle qu’exprimera RenĂ© Goscinny en 1959, avec son AstĂ©rix synthĂ©tiser le portrait d’une nation Ă  travers l’existence d’un petit village. L’opposition entre Peppone et Don Camillo et la chronique de Bruscello retranscrivent de maniĂšre malicieusement humoristique la confrontation mise en place aprĂšs-guerre entre le Parti Communiste Italien et la DĂ©mocrate-chrĂ©tienne. Tous comme les deux protagonistes du film, ces rivaux politiques s’avĂ©rĂšrent d’ailleurs capables de compromis historique, afin de permettre au systĂšme de fonctionner pour le bien commun et d’organiser la reconstruction. Au rebours de son ressenti actuel, le film fut donc d’une brĂ»lant modernitĂ© lors de sa sortie en salles, en Italie comme en France, oĂč il connut alors des critiques politisĂ©es d’une virulence que l’on imagine mal aujourd’hui. Le public français pouvait trouver bien des convergences avec la relation existant entre Communistes et Gaullistes aprĂšs la LibĂ©ration et la lutte commune contre l’occupant. La sociĂ©tĂ© hexagonale demeurait Ă©galement bien davantage agricole qu’elle ne l’est revenue depuis, avec l’exode rural et le remembrement. De fait, le film vĂ©hicule une remarquable sociologie des annĂ©es cinquante, sinon europĂ©ennes et urbaines, du moins latines et agricoles. Une autre qualitĂ© du film, cette fois intemporelle, se distingue dans la qualitĂ© de sa transposition d’une Ɠuvre littĂ©raire Ă  l’écran. Julien Duvivier sait conserver la nature composite du livre original, un recueil de nombreuses brĂšves nouvelles, en y incorporant des fils rouges RomĂ©o et Juliette, la Maison du Peuple suffisamment prĂ©sents pour apporter une nĂ©cessaire continuitĂ©, sans pour autant empiĂ©ter sur le feu d’artifice de contes savoureux. Les histoires retenues comptent infailliblement parmi les meilleures et savent se montrer variĂ©es, entre enjeux personnels ou sociaux, romantiques ou trĂšs terre Ă  terre. La lecture du livre montre d’ailleurs que Duvivier ne respecte pas la chronologie des Ă©vĂšnements, afin d’optimiser leur impact et de composer un ensemble stimulant l’intĂ©rĂȘt du spectateur. On peut y discerner la patte de Barjavel, dont la mĂ©fiance pour le progrĂšs technologique, alors exprimĂ©e avec force dans son terrible chef d’Ɠuvre, Ravage, se mĂȘle idĂ©alement Ă  cette Ă©vocation positive de la vie rustique. Mais Julien Duvivier, le cinĂ©aste de La belle Ă©quipe et de Sous le ciel de Paris, se consacre avant tout Ă  sa prĂ©dilection pour les portraits psychologiques, avec la matiĂšre trĂšs riche en personnages qu’assure la multiplicitĂ© des histoires. Le film rend communicatif le vif amour de ses auteurs pour ses diverses figures, toujours considĂ©rĂ©es avec humanisme. Si le film se voit Ă©videmment dominĂ© par la rivalitĂ© des chefs de faction, il dĂ©livre ainsi de nombreux inoubliables seconds rĂŽles, tels les savoureux lieutenants de Peppone, l’attendrissante Mme Christina, les farouches grands-pĂšres ou le sagace EvĂȘque, entre bien d’autres. Des critiques français ont pointĂ© du doigt la dimension supposĂ©ment rĂ©actionnaire du film. Pourtant son propos ne condamne jamais les idĂ©aux gĂ©nĂ©reux et sincĂšres de Peppone, il ne devient jamais manichĂ©en. Si Don Camillo, domine souvent, le Maire sait rendre coup pour coup. En rĂ©alitĂ© le seul Ă©lĂ©ment fustigĂ© sans restriction demeure l’égoĂŻsme forcenĂ© des propriĂ©taires terriens, l’humanisme et le souci du bien commun permettant toujours Ă  Don Camillo et Ă  Peppone de se retrouver aux heures sombres. De fait, ceci ajoute une touche de mĂ©lancolie Ă  la vision de ce film aussi drĂŽle qu’émouvant, car, en dĂ©finitive, qui a rĂ©ellement remportĂ© la bataille en 2016 ? Le Communisme solidaire de Peppone, le Catholicisme social de Don Camillo, ou bien la toute-puissance du Capitalisme dĂ©sinhibĂ© ? Poser la question, c’est y rĂ©pondre. Cet ancien temps se retrouve Ă©galement avec plaisir dans l’humour parfois surannĂ© du film, tĂ©moignage sensible d’une Ă©poque oĂč l’on prĂ©fĂ©rait rire avec les personnages, plutĂŽt que de rire d’eux. La tendresse et l’émotion s’y entremĂȘlent toujours, dans un ensemble identifiable par le public français, puisque la Provence de Pagnol ou des Lettres de mon Moulin n’est certes pas loin. On pourrait taxer cela de naĂŻvetĂ©, mais, subtilement filmĂ© par Duvivier, le film dĂ©gage une Ă©tonnante vĂ©racitĂ©. Duvivier peut Ă©galement s’appuyer sur son formidable duo vedette, un impayable Gino Cervi et un Fernandel idĂ©alement choisi pour incarner cette dualitĂ© de drĂŽlerie et de tendresse caractĂ©risant Le Petit Monde de Don Camillo. Son merveilleux aussi, lors des prĂ©cieux dialogues entre le protagoniste et JĂ©sus sur sa croix, contemplant l’humanitĂ© avec un amour et une bienveillance jamais dĂ©sespĂ©rĂ©s. Au-delĂ  de son intĂ©rĂȘt historique ou cinĂ©matographique, c’est bien cette foi en l’homme, en sa capacitĂ© inaltĂ©rĂ©e Ă  trouver en lui le chemin menant Ă  la solidaritĂ© et Ă  la paix magnifique sĂ©quence finale, qui assure l’indĂ©modable succĂšs du Petit monde de Don Camillo, film sincĂšre et gĂ©nĂ©reux, formidablement euphorisant. Anecdotes Outre un grand succĂšs international dont plus de 13 millions d’entrĂ©es en Italie, Le petit monde de Don Camillo occupa la premiĂšre place du box-office français 1952, avec 12 791 168 entrĂ©es, devant Violettes impĂ©riales 8 125 766 entrĂ©es et Fanfan la Tulipe 6 726 744 entrĂ©es. ConsidĂ©rĂ© comme le premier blockbuster français, Il ne sera dĂ©passĂ© par un film heptagonal qu’en 1966, avec La Grande Vadrouille et ses plus de 17 millions d’entrĂ©es. Selon la statistique de Centre National du CinĂ©ma, le film a Ă©tĂ© diffusĂ© 19 fois Ă  la tĂ©lĂ©vision depuis sa sortie en salles, soit une fois de plus qu’AngĂ©lique, Marquise des Anges. Le film adapte fidĂšlement le livre italien Ă©ponyme, publiĂ© en 1948 1951 en France et lui-mĂȘme grand succĂšs d’édition. L’ouvrage est un recueil de 36 courtes nouvelles, ce qui se ressent dans la construction du film. Guareschi en Ă©crivait une par semaine, pour son journal, Candido. Le film emprunte Ă©galement quelques Ă©lĂ©ments au second recueil, Don camillo et ses ouailles. Giovannino Guareschi 1908-1968 Ă©tait journaliste et caricaturiste, ancien opposant au Fascisme dĂ©portĂ© en Allemagne. AprĂšs la guerre, il milita contre le Communisme, mais fut aussi trĂšs critique contre la DĂ©mocratie ChrĂ©tienne au pouvoir, ce qui lui valut de la prison. Guareschi participa Ă  l’écriture des dialogues italiens du film. Il souhaitait initialement interprĂ©ter Peppone, tandis que Cervi jouerait Don Camillo, mais la production ne fut pas convaincue par ses talents d’acteur. Le tournage se dĂ©roula de septembre Ă  novembre 1951, dans le village bien rĂ©el de Brescello, oĂč Guareschi situait dĂ©jĂ  l’action de ses romans. Brescello se situe dans la plaine du PĂŽ, que l'auteur connaissait bien, Ă©tant lui-mĂȘme originaire de Parme, ville distante de 20 kilomĂštres. L'entrĂ©e du village s'orne des statues de Don Camillo et de Peppone et des excursions touristiques sont organisĂ©es afin de visiter les lieux de tournage, ainsi qu’un musĂ©e. En 2010, durant la nuit de PĂąques, un incendie a endommagĂ© l'Ă©glise, ainsi que le fameux Christ de Don Camillo. Contrairement Ă  son extĂ©rieur, l'intĂ©rieur de l'Ă©glise n'est pas Ă  Brescello, mais a Ă©tĂ© reconstituĂ© Ă  CinecittĂ . Coproduction franco-italienne, Le petit monde de Don Camillo emploie des acteurs des deux pays, chacun parlant sa langue. Le film possĂšde ainsi deux versions originales. Fernandel et Gino Cervi sympathisĂšrent durant le tournage et la saga doit beaucoup Ă  leur complicitĂ© toujours maintenue. Outre les cinq Don Camillo, ils jouĂšrent ensemble dans Le Grand Chef 1959 et dans Le Bon Roi Dagobert 1963, oĂč Fernandel joue le roi et Cervi, St-Eloi, inversant ainsi leur rĂŽle. Le rĂ©alisateur Julien Duvivier Ă©crivit Ă©galement les dialogues français, en collaboration avec RenĂ© Barjavel, l’un des plus grands auteurs français de Science-fiction et de Fantastique. AprĂšs avoir publiĂ© quelques Ɠuvres majeures du la Guerre Ravage, Le Voyageur imprudent, Barjavel travailla pour le cinĂ©ma jusqu’au dĂ©but des annĂ©es 60, essentiellement pour gagner sa vie, aprĂšs l’échec connu par son d’anticipation Le Diable l’emporte 1948. Il participe ainsi Ă  Les MisĂ©rables Les Chiffonniers d'EmmaĂŒs, Le Mouton Ă  cinq pattes, Le GuĂ©pard, etc. Barjavel revient dĂ©finitivement Ă  la littĂ©rature en 1968, avec La Nuit des Temps. Le film remporta plusieurs prix dĂ©cernĂ©s par la critique Ă©trangĂšre. En 1954 il est proposĂ© an BAFTA du film Ă©tranger l’équivalent de nos CĂ©sars pour la Grande Bretagne, mais le trophĂ©e est remportĂ© par un autre film français, Jeux interdits. La voix de JĂ©sus est assurĂ©e par Jean Debucourt, grande figure de la ComĂ©die française. Orson Wells s’en chargera dans la version amĂ©ricaine. SĂ©quences cultes Ici je peux ? Des pierres qui brĂ»lent ! Confession Les visiteurs du soir Partie de football Entrevues chez l'Ă©vĂȘque La procession Au revoir Don Camillo ! Retour Ă  l'index Films Dans le petit village de Brescello, petit village italien du territoire de la Bassa padana, dans la plaine du PĂŽ. S’affronte Giuseppe Bottazzi dit “Peppone”, le maire communiste du village et don Camillo, le curĂ©.. Le Petit Monde de Don Camillo 1952 M03 28 D’ñpres rivalitĂ©s de clocher font bouillonner le petit village italien de Brescello. Peppone, un communiste, vient de triompher aux Ă©lections municipales et son succĂšs est dur Ă  accepter pour Don Camillo, sympathique curĂ© de choc, qui, dans l’ombre du presbytĂšre, s’entretient presque amicalement avec Dieu. Le Retour de Don Camillo 1953 M06 5 Pour s’ĂȘtre disputĂ© avec les communistes, Don Camillo est envoyĂ© en pĂ©nitence par son Ă©vĂȘque dans une paroisse de montagne. La voix du Seigneur ne lui parvient plus Ă  cette altitude et Don Camillo se dĂ©sole. À Brescello, Peppone, le maire communiste, a des ennuis avec Cagnola, un propriĂ©taire foncier qui refuse de cĂ©der Ă  la commune la parcelle de terrain qui lui permettrait d’élever une digue salutaire. Et personne n’apprĂ©cie Don Pietro, le jeune prĂȘtre qui remplace Don Camillo. Celui-ci revient en douce pour emporter son » Christ. Il accepte Ă  cette occasion de rendre service Ă  Peppone, et de lutter aux cĂŽtĂ©s de son vieil ennemi pour la construction de la digue
 La Grande Bagarre de Don Camillo 1955 M09 29 Les Ă©lections approchent. Pour Peppone, qui rĂȘve d’ĂȘtre dĂ©putĂ©, c’est une pĂ©riode cruciale. Mais Don Camillo ne l’entend pas de cette oreille et va tout faire pour perturber les desseins de pouvoir du maire communiste. Leur rivalitĂ© devient alors plus fĂ©roce que jamais. Don Camillo monseigneur 1961 M10 6 Les choses ont beaucoup Ă©voluĂ© pour Don Camillo et Peppone l’un est dĂ©sormais Ă©vĂȘque au vatican , alors que l’autre s’est glissĂ© sous les traits d’un sĂ©nateur. Mais quand Peppone annonce qu’il veut construire une maison communale dans leur village d’origine en lieu et place d’une vieille chapelle, le sang de Don Camillo ne fait qu’un tour. Les deux hommes se retrouvent Ă  nouveau pour en dĂ©coudre. Don Camillo en Russie 1965 M09 17 Une nouvelle fois, le village de Brescello connaĂźt une effervescence occasionnĂ©e par une Ăąpre polĂ©mique. Le maire Peppone a dĂ©cidĂ© que la commune serait jumelĂ©e avec Brezwyschewsky, une petite ville d’Ukraine. PrĂȘt Ă  tout pour empĂȘcher cette association, Don Camillo se met en tĂȘte d’organiser un rĂ©fĂ©rendum puis entame une grĂšve de la faim. Sans succĂšs. Pendant ce temps, les Ă©lus italiens s’embarquent pour l’Union SoviĂ©tique. Avide de vengeance, Don Camillo accompagne la dĂ©lĂ©gation. Afin de ne pas attirer l’attention des camarades soviĂ©tiques, il s’habille en civil. En Ukraine, les habitants organisent une rĂ©ception en l’honneur des visiteurs. Bien des surprises attendent Don Camillo, Peppone et sa bande
 Don Camillo et les contestataires 1972 M03 29 Alors que Peppone est attaquĂ© par l’aile maoĂŻste de son parti, Don Camillo est dĂ©rangĂ© par un farouche jeune dĂ©fenseur de l’Église moderne. Le fils de Peppone, dĂ©sƓuvrĂ©, doit faire face Ă  ses problĂšmes d’adolescent et va se confier Ă  l’ennemi hĂ©rĂ©ditaire de son pĂšre. Cat, dĂ©linquante en garde chez Don Camillo, fait tourner par ses tenues assez osĂ©es les tĂštes les plus sages du village. Tous ces petits ennuis ne sont pas au goĂ»t de Peppone qui risque, avec ces incidents, de rater sa réélection. C’est Don Camillo qui partira dans le pays Ă  la recherche des voix qui risquent de manquer Ă  son vieux complice. Comme quoi les voies du Seigneur sont effectivement impĂ©nĂ©trables. Bookmark this page and The Streamable will automatically update it if services change or more films are added. 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Peppone compte sur l’influence de Don Camillo pour contraindre les propriĂ©taires terriens Ă  financer l’édification d’une digue protĂ©geant le village du PĂŽ. Unis pour le bien commun, les deux hommes parviennent Ă  construire l’édifice, mais la crue emporte tout et les eaux submergent Brescello. Tandis que Peppone organise l’évacuation de la population, Don Camillo demeure dans le village afin de garder la maison », aprĂšs un mĂ©morable sermon insufflant du courage Ă  ses paroissiens. Critique TournĂ© trĂšs rapidement aprĂšs la sortie premier opus de la saga, sous l’aiguillon de l’immense succĂšs populaire alors rencontrĂ©, Le retour de Don Camillo doit d’entrĂ©e faire face Ă  l’accusation de composer une simple exploitation commerciale. La plupart des critiques d’alors portent d’ailleurs sur ce point, alors qu’auparavant elles fustigeaient l’orientation politique du Petit Monde de Don Camillo. De fait, une convergence trĂšs forte, autant dans le fonds que dans la forme, existent entre ces deux films se succĂ©dant d’ailleurs dans une parfaite continuitĂ© de l’action, ce qui n’est finalement guĂšre si frĂ©quent au sein d’une saga cinĂ©matographique. L’équipe originelle demeure en place et le tandem Duvivier/Barjavel puise pareillement avec bonheur parmi les nouvelles de Giovannino Guareschi, suscitant derechef une moissonnĂ©e de scĂ©nettes et de personnages aussi drĂŽles qu’attachants. La similitude des deux narrations rĂ©sulte si poussĂ©e que l’on peut considĂ©rer Le retour de Don Camillo comme une prolongation du Petit Monde de Don Camillo, et non pas comme sa suite. Mais il serait erronĂ© de croire que le film sombre pour autant dans la facilitĂ©. En effet Duvivier maintient la mĂȘme implication et le mĂȘme souci apportĂ© au profil psychologique des personnages que prĂ©cĂ©demment. Cela nous vaut de grands moments d’émotion, tels Don Camillo terrassant enfin son orgueil en son exil montagnard, les retrouvailles des deux adversaires autour d’un plat de spaghettis, ou encore l’évocation sensible de la puretĂ© de l’enfance, lors de la balade de Don Camillo et du fils de Peppone. Toujours dans la meilleure tradition mĂ©ridionale française, soit un pont vers l’Italie, le rĂ©cit se montre particuliĂšrement animĂ© et amusant, comme lors du fracassant retour de Don Camillo sur le ring au sens propre, de la prise de bec avec Peppone devant la fanfare municipale, ou de la mĂ©morable sĂ©quence de l’huile de foie de morue. Outre un talent toujours aussi manifeste dans l’écriture, Duvivier se montre Ă©galement trĂšs en verve derriĂšre la camĂ©ra. Le film s’impose comme visuellement magnifique, grĂące Ă  des scĂšnes toujours finement ciselĂ©es, d’une patine dĂ©licieusement surannĂ©e. On apprĂ©cie Ă©galement un excellent travail de photographie, accompagnant idĂ©alement un Noir et blanc de grande qualitĂ©. Alors que les inoubliables mĂ©lodies du compositeur vĂ©tĂ©ran Alessandro Cicognini scandent l’action, Le retour de Don Camillo bĂ©nĂ©ficie Ă©galement de toute la puissante machinerie de CinecittĂ , dans laquelle Duvivier se coule parfaitement. La distribution se montre aussi brillante et enthousiasmante qu’au premier jour. Fernandel et Gino cervi en tĂȘte. L’apport d’Edouard Delmont s’avĂšre Ă©galement prĂ©cieux. Il nous offre l’un des personnages les plus savoureux de la saga et Ă©tablit un lien direct avec le cinĂ©ma humaniste et gĂ©nĂ©reux de Marcel Pagnol. Par ailleurs, si Le retour de Don Camillo a su pleinement maintenir le remarquable niveau de qualitĂ© du premier opus de la saga, il finit Ă©galement par faire entendre sa propre musique. Cela se perçoit Ă  travers une part nettement plus importante impartie, sinon au Fantastique, du moins au rĂ©alisme merveilleux. JĂ©sus, aux silences parfois plus sonores que les mots, voit son rĂŽle accru. A travers le pseudo pacte mĂ©phistophĂ©lique ou ses fausses morts successives. Le Dr. Spiletti insuffle une fantaisie Ă©voquant les fables d’Alphonse Daudet. L’excellent conte des deux horloges achĂšve de situer le film aux confins d’un surrĂ©alisme pimentant le rĂ©cit. Surtout, avec l’épisode tragique de la crue historique du PĂŽ survenue en 1951, le film gagne une intensitĂ© supplĂ©mentaire. Le soleil mĂ©ridional lasse place Ă  un environnement autrement plus hostile et menaçant. Les Ă©vĂšnements dramatisent avec Ă©loquence la dimension politique de l’Ɠuvre. C’est notamment le cas d’une opposition finalement superficielle du Communisme de Peppone et du Catholicisme de Don Camillo, pour peu que les deux doctrines vĂ©hiculent le mĂȘme humanisme et le mĂȘme souci du bien commun. La proximitĂ© de la catastrophe Ă  venir fustige Ă©galement avec une force particuliĂšre l’égoĂŻsme des propriĂ©taires terriens. Tout ceci dĂ©bouche sur ce qui compose sans doute la scĂšne la plus marquante de la saga, le sermon de Don Camillo cĂ©lĂ©brant la grandeur de la solidaritĂ© rĂ©vĂ©lĂ©e dans l’épreuve. Ce grand moment de cinĂ©ma, portĂ© par un magnifique Fernandel, consacre la rĂ©ussite de ce second volet parvenant Ă  encore rehausser les qualitĂ©s du premier. Anecdotes S’il ne réédite pas l’exploit du Petit Monde de Don Camillo, premier au box-office français en 1952, Le Retour de Don Camillo atteint nĂ©anmoins la deuxiĂšme place en 1953. Avec 7 425 550 entrĂ©es, le film demeure un immense succĂšs populaire, seulement dĂ©passĂ© par les 9 488 114 entrĂ©es de Sous le plus grand chapiteau du monde. Tout comme le premier opus de la saga, les nombreuses scĂ©nettes du film s’inspirent d’une vingtaine des brĂšves nouvelles publiĂ©es hebdomadairement par Giovannino Guareschi dans son journal, entre 1947 et 1952. Contrairement au Petit Monde de Don Camillo, rĂ©ellement rĂ©alisĂ© Ă  Brescello, l’essentiel du film fut tournĂ© Ă  CinecittĂ  et dans les environs de Rome. L’affiche que l’on voit au mur avant que les Communistes ne versent l’argent sur la table est celle de Le monde lui appartient 1952, film d’aventures maritimes Ă©voquant la rivalitĂ© entre la Russie et les USA en Alaska, au milieu du XIXe SiĂšcle, avec Gregory Peck et Ann Blyth. Lors du tournage de la crue du PĂŽ, Fernandel dut rester semi immergĂ© durent plusieurs jours. L’acteur en conserva de douloureuses contractures, durant plusieurs mois. Le liquide que Don Camillo porte Ă  sa bouche apparaĂźt bien plus clair que celui du flacon d’huile de ricin ! Le succĂšs rencontrĂ© par le premier opus de la saga fit que Fernandel fut reçu par le pape Pie XII le janvier 1953, quelques mois avant que Le retour de Don Camillo ne soit Ă  l’affiche, en juin 1953. La crue historique du PĂŽ montrĂ©e par le film survient en novembre 1951 et donna lieu Ă  une vĂ©ritable catastrophe nationale. Plus de 1 000 km2 furent submergĂ©s et d’innombrables digues se rompirent, tout comme dans le film. 84 personnes furent tuĂ©es et 180 000 demeurĂšrent sans abri. La pluviositĂ© hors normes provoqua Ă©galement une crue simultanĂ©e du RhĂŽne. SĂ©quences cultes Un retour mouvementĂ© Chez le barbier Il faut sauver Gertrude ! Peppone, maire et pĂšre Le sermon de la crue du PĂŽ Retour Ă  l'index

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